A
- Appréhender la question ultime ou laisser vagabonder les mots en désordre, en dérive ? Peut-être se mouler dans le flôt des syllabes comme un radeau solitaire !
- Le poison prisonnier en soi fait-il fleurir la rose ?
- Dans une rue , un soir, un homme travaillait, dans une rue, si noire, que nul ne le voyait !
- Quand on a les yeux de l’innocence, on voyage au milieu des étoiles.
- Deux visages aujourd’hui me dévisagent, un visage le lendemain envisage.
- C’est comme c’est et c’est bien comme ça !
- Quand on atteint « l’âge de raison », qu’on a vécu mille saisons, on a le visage du clown triste qui vend ses rêves au trapéziste !
- Il était une fois dans une rue pavée un petit entonnoir cerclé de farfadets. Ils viennent de trouver un toit à cheminée, voilà le toit du four à pain du boulanger.
- Ecriture psychanalytique … et toc !
- Ecrire pour finir de dire le pire !
- L’amour est un parfum, à l’image de la rose il enivre la prose et l’enrobe de rimes pour séduire les abîmes de nos coeurs baladins.
- Aimer à conjurer le sort !
- Il semblerait que la muse emmène en son filet l’extravagance d’une ruse voilée par la timidité.
Des mots
Un cri
Mettre du miel sur la barbarie
Ecrire un poème…
Quand la conscience périt
Pour renaître bohème.
Enlisée dans mes sens
Je cherche la porte de toi.
Quand le silence trahit
Un sentiment, je t’aime.
- Il parait anodin
De dire à quelqu’un
Je t’aime,
Tant de fois prononcé.
Perdu dans les marais
De notre esprit critique
Je parle et je pique,
Je me tais et ce silence
Affaiblit ma persévérance
Folie de solitude
Folie de toi.
- J’aimerais vivre avec des personnes délirantes, avec un cœur gros comme la terre et qui veulent la dépasser.
- Un carton plein d’épines va éclater !
- La science qui prend l’essence
Le charme qui prend la vie
Le calme qui prend la tempête.
- Le feu c’est comme le cœur, tantôt chaud et rassurant, tantôt déchiré par les crépitements.
- Attention, attention, vous êtes déconnectée,
Attention, attention, rêve-danger …
- Mais quelle histoire pour quelques mots et un morceau de papier !
- Le soir,
L’histoire
D’un loir
Qui croit
Que les grenouilles
Croassent.
Le matin,
Le bain
D’un lapin
Qui craint
Le soir.
La nuit,
La vie
D’un cri
Qui déchire
Mon esprit.
- Histoire de savoir le pourquoi du carquois qui craquelle les deux ailes d’une demoiselle trop belle pour raconter l’histoire du savoir du pourquoi du carquois qui craquelle l’hirondelle de l’espoir.
- Rions avant que les gnons ne se rient de nous.
Bonsoir! Je viens de lire « Liban » texte poignant, emplit d’émotions, que j’ai beaucoup aimé…..
Et » pensées d’ado… » où j’ai particulièrement aimé la définition de l’amour!!….merci pour ces instants de lecture appréciés…..
Les autres à venir….
Merci Christine, je suis très touchée !